Harry, Ron et Hermione quittent tout pour mener à bien leur périlleuse mission : trouver et détruire le secret de l'immortalité et de l'anéantissement de Voldemort - les Horcruxes. Seuls et en fuite, les trois amis doivent plus que jamais compter l'un sur l'autre. Au même moment, le monde des sorciers est devenu dangereux. La guerre, longtemps crainte, a commencé et le Seigneur des Ténèbres contrôle désormais le Ministère de la Magie et même Poudlard, terrorisant et arrêtant tous ceux qui pourraient s'opposer à lui. L'Élu est dorénavant le traqué, les Mangemorts cherchant Harry ayant reçu l'ordre de le ramener à Voldemort... vivant. Le combat entre les puissances du bien et du mal de l'univers des sorciers se transforme alors en guerre sans merci. Les enjeux n'ont jamais été si considérables et personne n'est en sécurité. Mais c'est Harry Potter qui peut être appelé pour l'ultime sacrifice alors que se rapproche l'ultime épreuve de force avec Voldemort...
Après 10 ans d’attente, le moment tant attendu est enfin arrivé, celui de l’épilogue de la saga Harry Potter. N’ayant jamais lu les livres écrits par J.K. Rowling, j’attendais donc avec une certaine impatience de pouvoir visionner cet ultime chapitre opposant Harry à Voldemort. Un affrontement final qui nous aura pour le coup tenu en haleine durant 2 film, puisque « Les reliques de la mort » ont été scindés en 2 parties. La première partie posait les bases (dans un film où il ne se passait désespérément rien…), et sa suite allait afin nous livrer le duel tant attendu. Si coté rythme ce chapitre final manque parfois de cohérence et d’homogénéité, on peut cela dit aisément dire qu’il se pose largement comme le plus jouissif de tous. Règlements de comptes, révélations, disparitions, rien ne manque au programme pour en faire un cas d’école, à la virgule près. « Harry Potter et les reliques de la mort – partie 2 » signe ainsi la fin d’une saga qui aura passionné des millions de fans du petit sorcier aux lunettes rondes durant pas moins d’une décennie, et fait d’un simple compte pour enfant à la base, un symbole littéraire et cinématographique. Joli coup Madame Rowling!
Coté technique, je dois bien avouer que j’ai été globalement un peu déçu par le rendu de ce Blu-ray. Plus granuleux que ses prédécesseurs je trouve, plus capricieux dans ses contrastes, et moins saisissant dans le teneur de ses noirs également, je m’attendais à un rendu davantage immersif et plongeant, surtout pour le chapitre final d’une telle saga. L’abu de grain est à mon sens un vrai défaut, que j’ai vraiment du mal à saisir d’un point de vue artistique. A coté de ça, certaines scènes sont bien sur hallucinantes de relief et d’intensité, et affichant au passage une définition éblouissante. Bref, un sentiment mitigé au terme de cette vision, que j’attendais plus saisissante et mémorable qu’elle ne le fut.
Pour ce qui est des pistes audio, pas de miracle à Poudlard malheureusement, seule la version originale une fois encore profitera d’un encodage Haute Définition, avec une piste DTS HD Master Audio 5.1, alors que la VF doit de son coté se contenter d’un simple Dolby Digital (5.1) caverneux et irrémédiablement plat, tel l’encéphalogramme d’un sorcier ayant péri au combat. Vous devrez donc sans hésiter un instant opter pour la VO, tout juste magistrale, vous plongeant de façon tourbillonnante au cœur des affrontements et des effets fusants de toutes parts aux quatre coins de votre pièce. Un must du genre, comme on en avait rarement vu dans la saga Potter jusqu’à présent. Il vaut mieux tard que jamais, serrais-je tenter d’écrire. Pour les indécrottables de la version française, sachez que le doublage FR se montre correct, mais néanmoins insipide comparée à l’ampleur et au dynamisme dégagés par la version originale.
Blu-ray 3D
Dans sa version 3D, le film expose exactement les mêmes défauts – pourrais je dire – que dans la version 2D. On ne s’extasiera pas ici vraiment non plus du rendu, qui reste souvent sobre et granuleux, mais par contre on soulignera à nouveau l’éclat de la définition et la précision des effets, clairement bluffants. La profondeur de champ est évidemment nettement accentuée et l’impression de relief du coup plus que significative. Quelques effets se montrent même saisissants, alors que de prime abord le film ne semble pas avoir été conçu pour nous surprendre à tous prix. Un bon cru donc afin de mettre votre installation 3D active à l’épreuve.
Pour ce qui est des pistes audio, pas de miracle à Poudlard malheureusement, seule la version originale une fois encore profitera d’un encodage Haute Définition, avec une piste DTS HD Master Audio 5.1, alors que la VF doit de son coté se contenter d’un simple Dolby Digital (5.1) caverneux et irrémédiablement plat, tel l’encéphalogramme d’un sorcier ayant péri au combat. Vous devrez donc sans hésiter un instant opter pour la VO, tout juste magistrale, vous plongeant de façon tourbillonnante au cœur des affrontements et des effets fusants de toutes parts aux quatre coins de votre pièce. Un must du genre, comme on en avait rarement vu dans la saga Potter jusqu’à présent. Il vaut mieux tard que jamais, serrais-je tenter d’écrire. Pour les indécrottables de la version française, sachez que le doublage FR se montre correct, mais néanmoins insipide comparée à l’ampleur et au dynamisme dégagés par la version originale.
Concernant les extras, le premier disque (uniquement pour la version 2D du film) vous propose une fois encore un Maximum Movie Mode d’anthologie, qui vous offrira la chance de plonger littéralement au cœur des secrets du tournage en compagnie des acteurs, producteur et réalisateur de l’œuvre. Grâce à lui « Harry Potter et les reliques de la mort » n’aura plus aucun secret pour vous. Vous trouverez également sur ce même disque divers modules séparés ainsi qu’une courte séquence dédié au adieu du casting. La bande annonce du film « Green Lantern » est également présente en début de programme. Le second Blu-ray, dédié quant à lui intégralement aux bonus, propose une sélection de scènes coupées au montage, une conversation de près d’une heure entre l’auteur J.K. Rowling et l’acteur Daniel Radclieffe, un focus sur les femmes dans Harry Potter, une visite des studios Warner à Londres, une présentation par J.K. Rowling de son nouveau site internet (Pottermore), sans oublier bien sur les habituelles fonctionnalité BD-live, ainsi qu’un code pour télécharger une copie digitale du film, présent à l’intérieur du boîtier.
(C) Warner Home Video | Disponible dès le 16 novembre 2011 en Blu-ray, Blu-ray3D et DVD.
(C) Warner Home Video | Disponible dès le 16 novembre 2011 en Blu-ray, Blu-ray3D et DVD.
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2 commentaires:
avez vous des sautillementsà 06 min 13
@ Anonyme > non, aucun "sautillement" constatés lors de notre vision test.
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