Après un épisode IV très réussi, les fans de la saga Soul Calibur attendaient avec impatience la suite. « SoulCalibur V » est dès à présent dans les bacs. Les amoureux de baston armes à la main peuvent donc s’en donner à cœur joie. Mais que nous réserve concrètement cette nouvelle mouture ? Voici mes impressions sur ce Soul Calibur millésime 2012.
Pour ceux n’ayant jamais joué à un des précédents épisodes, précisons que Soul Calibur est un jeu de baston (combat) dans lequel vos personnages s’affrontent dans des arènes fermées avec des armes. La saga a vu le jour sur PSone avec un premier épisode nommé Soul Edge, avant de s’appeler Soul Calibur. Les deux noms sont quoiqu’il en soit liés et indissociables, car il s’agit là des noms de deux épées légendaires, l’une associée au bien et l’autre au mal. Les événements se déroulant de ce cinquième Soul Calibur prennent place 17 ans après ceux de Soulcalibur IV. On y découvre Patroklos, fils de Sophitia, rejoignant la quête de la Soul Edge. On retrouve ici certains noms légendaires de la saga, comme Nightmare, Ivy, Servantes ou encore Mitsurugi (mais il en manque malheureusement…), ainsi que de nouvelles recrues, avec Pyrrha, Natsu, Z.W.E.I., ou encore la présence de Ezio Auditore en tant que special guest (de la saga Assassin’s Creed), pour n’en citer que quelques uns.
Au registre des nouveautés, outre les quelques nouveaux venus cités plus haut, on trouve à présent un éditeur de personnages complet vous permettant de créer votre perso en partant de rien (homme ou femme), en le modelant comme bon vous semble (masse musculaire, cheveux, visage, tenue, équipement etc…) ou en partant d’un modèle existant et en modifiant certains aspects.
Pour ceux n’ayant jamais joué à un des précédents épisodes, précisons que Soul Calibur est un jeu de baston (combat) dans lequel vos personnages s’affrontent dans des arènes fermées avec des armes. La saga a vu le jour sur PSone avec un premier épisode nommé Soul Edge, avant de s’appeler Soul Calibur. Les deux noms sont quoiqu’il en soit liés et indissociables, car il s’agit là des noms de deux épées légendaires, l’une associée au bien et l’autre au mal. Les événements se déroulant de ce cinquième Soul Calibur prennent place 17 ans après ceux de Soulcalibur IV. On y découvre Patroklos, fils de Sophitia, rejoignant la quête de la Soul Edge. On retrouve ici certains noms légendaires de la saga, comme Nightmare, Ivy, Servantes ou encore Mitsurugi (mais il en manque malheureusement…), ainsi que de nouvelles recrues, avec Pyrrha, Natsu, Z.W.E.I., ou encore la présence de Ezio Auditore en tant que special guest (de la saga Assassin’s Creed), pour n’en citer que quelques uns.
Au registre des nouveautés, outre les quelques nouveaux venus cités plus haut, on trouve à présent un éditeur de personnages complet vous permettant de créer votre perso en partant de rien (homme ou femme), en le modelant comme bon vous semble (masse musculaire, cheveux, visage, tenue, équipement etc…) ou en partant d’un modèle existant et en modifiant certains aspects.
Coté solo le titre ne fait malheureusement guère dans l’originalité… on retrouve ici les classiques modes habituels, parmi lesquels il faut souligner le mode « Entrainement », très bien pensé. Le jeu nous gratifie bien sur aussi d’un cheminement « Histoire », vous proposant lui aussi d’évoluer au fil des chapitres en apprenant les techniques au fur et à mesure. Malheureusement ce dernier mode est assez court, n’espérez pas y passer plus 2-3 heures (pas de choix de difficulté hélas…). On retiendra aussi de ce Soul Calibur V en solo une difficulté nettement accrue depuis son prédécesseur. Certains affrontements en mode Arcade risquent de faire pleuvoir les noms d’oiseaux… J’en tremble encore. Vous devrez néanmoins en passer par là, et à plus d’une reprise, si vous désirez tout débloquer (persos, galeries, accessoires etc…). Coté multi joueurs, le jeu en ligne assure un contenu costaux et devrait de ce point de vue là vous tenir en haleine des heures durant. C’est assurément la force majeures de ce Soul Calibur V sur Playstation 3. Si le jeu en ligne n’est pas votre fort (comme moi…), vous risquez donc rapidement de vous ennuyer avec ce titre, j’en ai bien peur.
Je conclus cet article en vous signalant qu’une petite mise à jour vous sera réclamée dès l’insertion du disque dans la console, mais par contre pas d’installation obligatoire. Une option vous permet néanmoins d’installer le jeu sur le disque dur si vous le désirez (pas vraiment nécessaire, vu que les temps de chargement, même sans installation, restent très corrects).
(C) Namco/Bandai | Disponible dès le 3 février 2012 sur PS3 et 360.
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1 commentaires:
Ouep trop rapide en solo ça c'est sur mais les onlineurs vont se regaler et le mode custom des pieds a la tete et bien sympas aussi !!!!
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