Test effectué à partir d'une version éditeur.
Vous vous réveillez au cours de l'année 2032, à bord de Talos I, une station spatiale en orbite autour de la lune. Vous êtes le sujet clef d'une expérience censée altérer l'humanité à jamais, mais la situation s'est transformée en cauchemar. La station spatiale a été envahie par des extraterrestres hostiles et vous êtes désormais une proie. À mesure que vous explorerez les obscurs secrets de Talos I et ceux de votre passé, il vous faudra survivre grâce aux outils trouvés dans la station, votre perspicacité et des armes et compétences hallucinantes...
Vous vous réveillez au cours de l'année 2032, à bord de Talos I, une station spatiale en orbite autour de la lune. Vous êtes le sujet clef d'une expérience censée altérer l'humanité à jamais, mais la situation s'est transformée en cauchemar. La station spatiale a été envahie par des extraterrestres hostiles et vous êtes désormais une proie. À mesure que vous explorerez les obscurs secrets de Talos I et ceux de votre passé, il vous faudra survivre grâce aux outils trouvés dans la station, votre perspicacité et des armes et compétences hallucinantes...
Très attendu par certains, Prey est un jeu d'action à la première personne développé par Arkane Studios, à qui l'on doit entre autres la série Dishonored sur consoles et PC, ayant su par son travail exemplaire gagner ses lettres de noblesse auprès de la communauté, dont nous vous avons d'ailleurs parlé il n'y a pas si longtemps lors de notre test de la version PS4 de Dishonored 2, sorti en novembre dernier sur Playstation 4, Xbox One et PC. Prey puise néanmoins sa singularité dans une ambiance plus confinée et un scénario clairement davantage SF, qui rappellera de bons (ou moins bons, c'est selon) souvenirs aux amateurs de la saga Alien(s), en particulier je pense. Un scénario qui sera en partie la clef de cet opus d'ailleurs, je vais y revenir plus en détails dans un instant.
Préambule à l'aventure (spatiale) qui vous attend dans Prey, vous devrez en début de partie choisir votre sexe. Le personnage de Morgan Yu (votre avatar dans le jeu), peut en effet prendre les traits d'un homme ou d'une femme. Un choix (irréversible bien sûr), purement esthétique, qui n'aura cela dit aucune incidence ni sur le gameplay ni sur le déroulement des événements, sachez-le.
Préambule à l'aventure (spatiale) qui vous attend dans Prey, vous devrez en début de partie choisir votre sexe. Le personnage de Morgan Yu (votre avatar dans le jeu), peut en effet prendre les traits d'un homme ou d'une femme. Un choix (irréversible bien sûr), purement esthétique, qui n'aura cela dit aucune incidence ni sur le gameplay ni sur le déroulement des événements, sachez-le.
Coté technique enfin, Prey (dans sa version PS4) se montre globalement correct, sans cependant éblouir nos mirettes par des graphismes flamboyants, un peu trop "classiques" la plupart du temps. On prend cela dit plaisir, quoiqu'il en soit, à parcourir les environnements proposés. On peut également souligner la jolie BO qui nous accompagne tout du long, ainsi qu'un doublage FR soigné, mais pas forcément très expressif. J'avoue ne pas avoir comparé avec la VO, mais cette dernière pourrait potentiellement se montrer plus efficace dans ce domaine je pense. Gros bémol par contre en ce qui concerne certains temps de chargement, nettement trop longs.
VERDICT
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Totalement conquis par l'ambiance de Prey, qui se montre à ce niveau-là quasiment irréprochable de bout en bout en plongeant le joueur dans un survival spatial digne des meilleurs Alien(s), ainsi que par une direction artistique exemplaire, j'ai par contre été moins conquis par les graphismes, un peu légers (du point de vue des décors ainsi que du rendu des PNJ surtout), ainsi que sur l'écriture du scénario, qui fini par nous perdre et ne proposant pas, à mon sens, un final à la hauteur des efforts investis (quelque soit la fin pour laquelle vous opterez d'ailleurs). On soulignera par contre une BO superbe, un doublage FR soigné (bien qu'un peu monotone), ainsi qu'un gameplay nourri de bonnes idées, mais mon manque d'accroche aux FPS de manière générale m'a sans doute un peu gâcher l'expérience (et si Prey avait été un TPS...). Un titre qui trouvera quoiqu'il en soit et sans problème son public, j'en suis certain.
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